Le vaurais nous appartient

Pas vraiment une fiction, une triste hypothèse ! Je vous la fais en dialogue (toute ressemblance avec des échanges réels ayant eu lieu ou à venir, ne serait pas fortuite...) Jean Terlier : - Allo Guilhem ? Je peux t'appeler Guilhem au nom de nos similitudes d'objectifs ? Guilhem Carayon : - Pas de problème Jean, et mes félicitations, tu as mieux enfumé que moi ! Jean Terlier : -Tu sais, tes électeurs, tu peux les diriger vers mon programme qui ressemble tellement au tien ! Guilhem Carayon : -Oui, mais je veux des garanties sur les municipales. Papa ne briguera pas un énième mandat et je vais m'inscrire à sa succession. Ce serait de bonnes pratiques politiciennes si tu t'engages à me porter soutien... Jean Terlier : - Bien sûr pas de problème, de toutes les façons, c'est un vrai boulevard avec l'opposition fade et insipide qui épouse les process d'une pratique dictatoriale vieille de plus de 25 ans ! Guilhem Carayon : - OK je la joue comme cela, mon mot d...

A Ambres, la projection du film « on nous enfume » - « Agro-industrie, quand la pomme nous empoisonne la vie » a été suivie d'un débat fort en émotion et riche lors d'échanges avec des victimes de pesticides. Anciens professionnels du mode agricole, des témoins ont tenu à apporter leur soutien à notre lutte avec comme leitmotiv, "la lutte doit converger vers des actions pour la cessation immédiate de l'usage de tous les produits phytosanitaires" , il n'en est pas de bon, il n'en est que de mortels . Les moratoires pour la cessation de ces usages sont un non sens car ils couvrent des conséquences mortels pour tous ceux qui les supporteront. Cesser les phytosanitaires oui, mais pas demain, AUJOURD'HUI. Un message fort et aussi des expériences rassurantes : s'il est commun d’entendre que le bio ce n'est pas « rentable », les témoins venus de Bretagne, nous disent comment ils se sont développés en bio avec une incidence positive sur leurs ex...