Gestion indigente, le maire s'en vante !
LES VŒUX !
Carayon n'a pas changé, les années de confinements n'ont pas été mises à profit pour apporter un peu de sagesse et de bon sens dans le discours d'un maire ancré sur ses positions aveugles à la sobriété énergétique à l'indispensable prise en compte des changements climatiques.
Il a décidé il y a de cela bien des années d'un projet, il va trainer son projet à travers moult élections pour faire reluire un bilan qui, somme toute, lui fait faire l'économie de se renouveler.
Ce que le correspondant de la Dépêche appelle de la gouaille n'est que désespérance face à un échec, celui d'Isatis et ce n'est pas en bousculant ses administrés et en leur reprochant de ne pas utiliser un service qu'il peut s'affranchir d'une faute de gestion grave, celle qu'il réitère sans cesse, l'absence de prévision, de concertation, de communication... en amont !
Insolent et railleur, il peut l'être car il n'a pas de contradicteur, à se demander si l'assemblée n'est pas plus préoccupée par le buffet que par les divagations sur les réalisations à court terme qui ont commencé depuis des lustres !
J'inquiète parce que si c'est de notre faute, nous les vauréens, qu'Isatis n'a pas le succès escompté, il est à craindre qu'il nous reproche de ne pas fréquenter le futur cinéma, nous serons montrés du doigt si l'IRM n'a pas un carnet de rendez-vous à la hauteur de ses espérances (enfin si le personnel médical est disponible).
Parce que ce que nous voulons, ce dont nous avons besoin cela fait bientôt trente ans que Carayon n'en a rien à faire, il faut que nous adhérions à ce qu'il fait au plus près, le reste ce n'est pas un sujet.
Même si, avec une constance jamais prise en défaut, il conduit la commune dans le mur.
Il prétend que la voirie est une priorité, touchons du doigt la signification de priorité pour Carayon en empruntant, par exemple, la rue d'en Caoussou, le chemin de bel air (je vais pas me livrer à un inventaire, la liste est trop longue), mais qu'il veut contenir les taux d'imposition.
STUPIDE raisonnement !
Car une voirie délaissée est une voirie qui se délite de plus en plus, les bouleversements climatiques engendrent des événements de plus en plus forts et les désordres dans la tenue des revêtements des infrastructures sont et vont être de plus en plus marqués. Viendra le moment où l'intervention sera urgente et elle sera d'autant plus coûteuse qu'elle aura tardé : entretenir est moins onéreux que réparer !
Aussi pour un édile qui met en avant la sécurité et la voirie, c'est une fable que de vouloir préserver le taux d’imposition, c'est une promesse éphémère et quand viendra le temps de payer, attendons nous à une flambée des taux insoutenable.
L'avenir de la commune est dépendante des décisions qui mettent en œuvre un véritable projet de vie communale, le PLU végète depuis des années. Par ailleurs, aucune disposition tendant à promouvoir la disponibilité des moyens de santé n'est envisagé, car ce n'est pas de matériel dont nous avons besoin, ce sont de soignants !
Ainsi va Lavaur, portée par un courant qui était tranquille et sans que personne ne s'inquiète du tumulte qui s'annonce. Et quand la barque chavirera, ce sera de notre faute !
De notre faute ?
Bien sûr... en tous cas la faute à ceux (moins de 30%) qui ont voté en 2020 pour des chimères, seront-ils encore en 2026 au rendez-vous des illusions ?
L'avenir nous le dira, mais le temps est venu de construire une alternative responsable.
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