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Affichage des articles du novembre, 2025

Réussir Lavaur : quatre objectifs !

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 Un programme en forme d'objectifs... Objectif 1 - La démocratie à Lavaur : un système à reconstruire – Bilan du mode Carayon : concentration, opacité, commissions décoratives, – Ce que serait une gouvernance participative réelle, – Les pôles, les adjoints, la coordination, – Le citoyen associé autrement qu’à travers des gadgets, – Le vote libéré, la parole assumée. Objectif 2 - Les finances : sortir du rouge vif – Dette, trésorerie, dérives, – Les choix difficiles à assumer, deux axes, – Les économies nécessaires, – Un plan pluriannuel honnête, – Transparence financière : une rupture obligatoire. Objectif 3 - L’investissement : sauver l’essentiel – Hiérarchiser : ce qu’on garde, ce qu’on retarde, – Équipements indispensables vs gadgets politiques, – Reprendre le contrôle des chantiers – Faire mieux avec moins : réalisme, pas de résignation. Objectif 4 - L’entretien : la grande oubliée du mandat – Voirie, bâtiments, patrimoine, – Pourquoi l’entretien est de la politique, pas...

VICTOIRE !

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La pétition à personne est close. Et voilà que s’élève… un cri de victoire . Une victoire ? Vraiment ? Sous l’annonce triomphante, on lit : "Aujourd'hui 24 novembre 2025 les délais de recours sont forclos, la pétition n’est plus utile, la municipalité ne reviendra pas sur sa décision : « c’est vendu, aucun recours possible ! »" On croit rêver. Car enfin, que s’est-il donc passé ? La vente de l’ancienne mairie a bel et bien eu lieu, et d’éventuels recours juridictionnels (et non judiciaires , comme certains s’obstinent à dire) sont — paraît-il — pendants devant le tribunal administratif. Nous avons donc devant nous une opposition qui, en plus de perdre, croit gagner, et qui, en plus de crier victoire, confond tout : droit, délais, réalité et communication. Car rappelons un fait simple : une pétition n’a rien à voir avec les délais de recours contentieux. Une pétition n’est pas un acte juridique, mais un acte politique : une pression citoyenne. Le délai de deux moi...

Sauvons Lavaur !

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  Lavaur n’attend plus :  maintenant, c’est aux vauréens d’entrer en scène Il y a un moment où regarder, commenter, sourire jaune et secouer la tête ne suffit plus. Un moment où il faut arrêter de dire « quelqu’un devrait… » et réaliser que ce quelqu’un, c’est nous . Et ce moment, pour Lavaur, il arrive avec la fin de l'année. On a laissé Carayon gouverner comme on regarde un feuilleton improbable : – avec un mélange de stupéfaction et de résignation, – en espérant secrètement que la saison suivante serait meilleure, – et en constatant finalement que non… c’est encore pire. On a observé GAT TO se prendre les pieds dans ses propres graphiques, comme un prestidigitateur qui confondrait son chapeau et sa baguette. Ils prétendent diagnostiquer, mais ils comptent comme un grille-pain. Ils veulent gérer, mais ils confondent emprunt et trésorerie. Ils dénoncent, mais sans jamais comprendre ce qu’ils dénoncent. On a constaté que "la gauche construit l'avenir de Lavaur" e...

Le silence des moutons !

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Alors que l’installation d’un cirque exhibant des animaux sauvages agite les Vauréens — chacun y allant de son indignation, de sa nuance ou de ses états d’âme — un silence demeure assourdissant : celui de l’opposition municipale, « La gauche construit l’avenir de Lavaur », et de ses satellites, étrangement muets. Attend-elle que l’opinion locale lui souffle le sens du vent avant de s’exprimer ? Ou, plus vraisemblablement, pratique-t-elle l’art ancestral de l’autruche politique : la tête dans le sable, le reste dans le vide, et surtout aucune idée à l’horizon. Ce mutisme récurrent n’est pas un simple détail ; c’est un symptôme. En 2025, une opposition sans répartie, c’est une démocratie locale qui bégaie, qui se désagrège, faute de contradiction et de propositions. Rappelons-nous : en début d’année, le maire, avec l’assurance qu’on lui connaît, a publiquement accusé la cheffe de l’opposition d’être responsable de la flambée des primes d’assurance, rien que ça !, pour avoir signalé des c...

Malveillants ou tout simplement stupides

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Naïvement, j’ai cru - oui, vraiment - que l’opposition en gestation (éléphantesque, mais sans trompe et surtout sans mémoire) avait enfin quelques éléments pour se lancer dans la campagne municipale. À force d’entendre qu’ ils travaillent , j’ai été assez crédule pour imaginer que quelque chose allait sortir de leur laboratoire politique. Eh bien non. Ils ont travaillé… à ne rien faire . En juillet, j’avais pourtant proposé quelques devoirs de vacances . L’opposition ? Disparue dans les herbes hautes, pas un mot, pas un souffle. Résultat : aujourd’hui, elle erre dans son propre labyrinthe intellectuel, sans fil d’Ariane, sans boussole et sans perspective. Elle n’est pas prête d’en sortir. Les commentaires reçus : un révélateur J'y réponds ici... pour ce qui est de leur power point sur la ligne de trésorerie qui a beaucoup... amusé ! Je ne publie pas les commentaires, la forme est parfois trop… expressive. Mais le fond, lui, en dit long sur la confusion savamment entretenue pa...

Mémento pour un Lavaur démocratique

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Prendre en main l'avenir de Lavaur    Le vade mecum des objectifs pour une nouvelle gouvernance . 1. Gouvernance dynamique Répartition claire des missions par pôles de compétences, Election d’adjoints compétents et disponibles.   2. Commissions renforcées Chaque adjoint anime une commission liée au programme soumis aux électeurs, Une commission dédiée à la coordination générale.   3. Calendrier clair Programmation annuelle transparente des projets et décisions.   4. Délégations raisonnables Application stricte et intelligente de l’article L2122 22 du CGCT . Le maire devient animateur, non monarque.   5. Participation citoyenne efficace Fin du bal des post-it, place aux contributions réelles, Appui sur les compétences locales.   6. Redressement financier Résorption de la dette, Programmes pluriannuels réalistes, Maîtrise des dépenses de personnel, Réduction des subventions non essentielles. 7. Communication volontariste Réunion ...

Boycott

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Scandale à Lavaur : le cirque de la honte… avec bénédiction municipale ! Il n’y a pas à tourner autour du chapiteau : en 2028 , les cirques avec animaux sauvages seront enfin interdits. Très bien. Mais 2028 , ce n’est pas demain matin. Et en attendant cette échéance, le maire a parfaitement le pouvoir — et surtout la responsabilité morale — de refuser que des terrains communaux deviennent des lieux d'exploitation animale . Car oui, rappelons-le : aucune loi n’oblige une commune à prêter ses parkings pour héberger des cages ambulantes où tigres, lions et autres animaux sont condamnés à vivre dans 12 m² de grillage et d’ennui. Le maire ne peut pas interdire le cirque par arrêté (la loi l’empêche, admettons). Mais le maire peut parfaitement refuser de louer un emplacement communal. Ou mieux encore : fixer un tarif tellement stratosphérique que même le cirque Pinder n’oserait plus demander une réservation. C’est simple, légal et moral. Mais à Lavaur… que se passe-t-il ? Un park...

L’atelier pédagogique des bricolos-écolos

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 L'opposition ne nous épargnera rien ! Ils osent tout ! Par principe, je m’impose une certaine hygiène mentale : je ne relaie jamais les productions du GAT TO . Non que je veuille priver le monde de moments potentiellement comiques, mais la stupidité, lorsqu’elle atteint un tel degré de concentration, mérite un minimum de précautions… un peu comme l’amiante. Mais cette fois, difficile de résister : nos bricoleurs verts ont réussi à produire un chef-d’œuvre du genre. Stupide, mensonger, et en plus didactiquement faux — un triptyque parfait. Selon eux, le maire aurait recours à des « financements extérieurs ». Extérieurs à quoi ? À leur entendement ? Car s’ils entendent par là l’emprunt , il va falloir leur rappeler une notion simple : un emprunt communal reste… un financement communal . Pas de machination planétaire, pas de complot bancaire à la petite semaine. Juste une commune qui emprunte comme toutes les communes. Puis ils osent un numéro acrobatique : lorsque le conseil trans...

Séance d'anthologie... par le vide !

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 Ah, Lavaur… Une nouvelle réunion du conseil municipal, aussi fluide qu’un PowerPoint d’entreprise un vendredi à 17h. Rien ne dépasse, rien ne choque, rien ne vit. Une séance huilée , oui — mais avec une huile de friture usagée, tant tout semblait rance et prévisible. Et puis il y avait l’opposition . Cette fameuse opposition qui se présente comme la gauche qui construit Lavaur . À force de les entendre, on finit presque par y croire… jusqu’à ce qu’ils ouvrent la bouche. Ou plutôt : jusqu’à ce qu’ils ne l’ouvrent pas. Une opposition sous anesthésie générale La léthargie était telle qu’on aurait pu penser que le chauffage de la salle fonctionnait au gaz hilarant. Pas une étincelle, pas un frisson, pas même le traditionnel soupir indigné. Rien. Le néant politique. On aurait pu espérer un sursaut lorsqu’un maire soudainement socialiste — il faut relire deux fois pour y croire — s’est mis à vanter la grande vertu de la transmission en politique. Alors là, on se disait : ça y est,...

Cela ne va pas tomber tout cuit !

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Il est évident qu’une gouvernance participative ne tombera pas du ciel. Rien ne sera spontané, rien ne s’improvisera. Il faut la bâtir, la structurer, la préparer. Et soyons clairs : mars sera trop tard. Dès fin février , la liste doit être en ordre de marche : identifiable, crédible, visible. Avec un vade-mecum du fonctionnement , un calendrier, des engagements, et les premières échéances déjà fixées. Car aujourd’hui, se mettre en position d’élu , c’est se mettre en position de sauver Lavaur . Sortir enfin du marasme dans lequel le maire Carayon nous a méthodiquement plongés. Alors oui : ✔ Se faire connaître pour être reconnu. ✔  Donner envie aux Vauréens d’embarquer. ✔  Proposer des choix réalistes, lucides, parfois douloureux, mais nécessaires. C’est ça, l’enjeu. La première urgence ? Une identité. Une vraie. Pas un bricolage. Une vision , un nom , un logo , une charte , un cap. Et dans la foulée : – la présentation de la tête de liste , – la définition des pôles de ...

MINI-PROGRAMME POUR LE RENOUVEAU DE LAVAUR

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Une gouvernance responsable, participative et efficace I. Une gouvernance dynamique et transparente 1. Un maire coordinateur, pas un monarque local Le maire devient l’animateur de l’action communale. Fin du « maire-qui-décide-tout ». article L2122-22 du CGCT : délégations claires, limitées, transparentes. 2. Un organigramme annoncé dès la candidature Présentation des pôles de compétences avant les élections. Nomination d’adjoints en fonction : de leurs compétences, de leur appétence, ou de leur volonté de se former (et non par copinage). 3. Un fonctionnement lisible Publication du « Qui fait quoi ». Calendrier annuel des travaux de la municipalité. Délibérations préparées en amont via les commissions. II. Des commissions renforcées et utiles 1. Missions claires pour chaque commission Rédiger les propositions. Préparer les délibérations. Assurer le suivi des actions. Garantir le respect de la réglementation. 2. Une commis...

Gagné ! Une nouvelle stupidité au compteur du GAT TO !

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UNE STUPIDITÉ ? NON : UN JOYAU DE MALADRESSE. GAT TO prétend que le maire ne répond pas. À quoi, au juste ? À un recours gracieux — déposé il y a moins de deux mois — dont même un étudiant de première année sait que le délai légal de réponse est… de deux mois . Un recours gracieux déposé après un recours de pleine juridiction  selon le GAT TO ! Autrement dit : « GAT TO découvre le droit administratif comme on découvre un meuble Ikea : avec stupeur, panique, et l'impression qu'il manque toujours une pièce. » Ils guettent la réponse comme s’ils avaient déclenché un séisme ; le maire, lui, doit lire leurs gesticulations en sirotant un café, entre deux éclats de rire. Car ce recours n’est pas seulement inutile : c’est une fourberie jetée à la presse , un semblant de courage empaqueté dans du vide. C'est le contribuable qui paiera les frais d'avocats. Et cerise sur le GAT TO, c'est une association qui diligente le recours gracieux et c'est GAT TO qui saisit le...

Construisons... la gouvernance

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Construire enfin quelque chose à Lavaur Dans ma dernière chronique, j’ai dit qu’une gouvernance participative était possible. Pas les gadgets à base de « co- » que la gauche locale adore bricoler. Non : une vraie architecture de décision , lisible, efficace, respectueuse des lois, et qui ne transforme pas les citoyens en distributeurs de post-it. 1. Une gouvernance dynamique Tout commence par une répartition des missions par pôles de compétences. Dès la candidature, la liste doit annoncer son organisation : qui fait quoi, qui anime quoi, et pourquoi cette personne-là. Pas de petits arrangements, pas de copinage, pas de « tiens, tu feras jeunesse parce qu’il reste ce poste ». Les adjoints doivent avoir une appétence, une compétence ou une volonté réelle de se former. Et surtout, il faut appliquer l’ article L2122-22 : ✅  des délégations claires ✅ un maire coordinateur, pas un petit monarque ✅ des commissions qui travaillent vraiment 2. Des commissions qui produisen...

A chaque jour son idiotie ! L’art de la critique stérile !

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Décidément, l’opposition à Lavaur excelle dans un domaine : labourer la bêtise avec passion. On attend d’eux des analyses, ils nous servent des contes de fées. Vivement qu’ils se mettent vraiment au jardinage : au moins là, ils sauraient peut-être distinguer une racine d’un râteau — parce qu’en finances publiques, c’est la friche totale. Et voilà GAT TO qui, une fois de plus, nous fait un numéro : ils “dénoncent” le reversement du million d’euros du budget annexe assainissement vers le budget principal . Une découverte tardive… très tardive, puisque lorsqu’il fallait voter, leur bravoure s’est arrêtée au stade héroïque de l’abstention. Rappel utile : affecter un excédent, c’est du bon sens budgétaire. Le laisser dormir, c’est de la mauvaise gestion. Mais GAT TO préfère manifestement garder les excédents au congélateur, comme un mauvais plat qu’on ressort pour se plaindre. Une opposition qui critique aujourd’hui ce qu’elle n’a pas compris hier, qui s’indigne de décisions qu’elle a va...

La pétition rigolote...

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Elle est devenue quoi cette pétition qui propose un avenir à l'ancien hôtel de ville . Un avenir enfin si on veut. Car chacun aura bien remarqué que la pétition à personne ne propose pas de solution ! " Les bras cassés de la gauche construisent l’avenir”

Pire que le maire !

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Pire que le maire — il fallait oser, ils l’ont fait. L’« Union de la gauche qui construit Lavaur » vient surtout de construire… une muraille : ils oublient de rendre compte de leurs démarches, comme Carayon ! Pour une mouvance qui prétend respirer démocratie, participer au débat public, c’est un grand moment de tartufferie. Ils s’opposent, mais en disant le minimum, voire rien, ils promettent et ne tiennent pas, de gais lurons. Bravo, beau numéro. Derrière cette bannière bringuebalante, on retrouve : — Lavaur Citoyenne , qui porte bien mal son nom ; — Place Publique , recyclerie de marcheurs repentis ; — un PS microscopique, pro A 69 ; — GénérationS , qui mérite mieux que cette foire ; — et le GAT TO , dont la compétence financière rivalise avec celle d’un grille-pain qui est par définition anti- A69 !. Je les critique ? Oui. Je dénonce leurs dérives, leurs approximations, leurs soufflés militants qui retombent plus vite qu’un soufflé de débutant. C'est insupportable de les...

La gouvernance, clé de voute du renouveau...

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Lavaur , cité historique, non pas par ses vieilles pierres, mais par l’épaisseur de sa dette et l’indigence de sa gouvernance. Carayon , grande gueule certifiée AOP , ça oui. Gouvernant, beaucoup moins. Et pendant que lui parade, le Vauréen , lui, subit . Le renouveau ne viendra ni des grimoires poussiéreux du maire, ni des gadgets conceptuels de l’opposition qui s’extasie devant tout ce qui commence par co : co-construction, co-responsabilité, co-nnerie … Un nuage de poudre aux yeux qui dilue les responsabilités, neutralise l’efficacité et sert surtout de roue de secours doctrinale aux militants de Place Publique toujours en "phase d’essais". A Lavaur, il n'est plus temps d’essayer. Il faut réussir. Et réussir, ça ne se fait pas en bricolant des mini-budgets participatifs qui dispersent les moyens, entretiennent l’illusion d’une démocratie citoyenne tout en gardant, évidemment, tout le vrai pouvoir dans la poche arrière du maire , comme la loi l’exige. Le “co”, c...

Demain, communiquer enfin !

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  “La com’ municipale ou l’art de parler dans le vide” À Lavaur , la communication municipale , c’est un peu comme les routes : on sait qu’elle existe, mais on se demande toujours pour qui elle est entretenue. Un peu de goudron par-ci, une couche d’autosatisfaction par-là, et hop, la page Facebook du maire est à nouveau prête à servir d’estrade numérique. Pourtant, tout le monde n’est pas connecté ! À force de croire que la démocratie tient dans un “like”, on en oublie que les Vauréens n’ont pas tous un compte Facebook, ni l’envie de subir le fil d’actualité de la mairie entre deux photos d’inauguration et trois sourires crispés. Il serait peut-être temps de revenir à une vraie communication municipale : Le renouveau c'est pourtant simple ! des publications sur papier recyclé (pour coller à la fameuse “ transition écologique ” qu’on invoque à chaque coin de rue, sauf à la mairie), un calendrier clair des réunions du conseil municipal , affiché, distribué, lisible, ...

Au royaume de l'opposition, la stupidité est une ressource renouvelable.

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Eh bien si : on pensait avoir touché le fond, mais le GAT TO creuse encore. À ce niveau-là, ce n’est plus de l’incompréhension des finances publiques : c’est un bannissement définitif du cerveau. Visiblement, pour eux, une ligne de trésorerie , c’est une sorte de maléfice comptable, une potion magique de technocrate . Alors qu’en réalité, c’est juste le B.A.-BA de la gestion locale : payer ses factures en attendant l’arrivée des recettes en respectant la réglementation qui fixe à 30 jours le délai de paiement des créances de la commune. Un enfant de CM2 saisirait ça avant eux — à condition, bien sûr, qu’il ne fréquente pas leurs réunions. Le comble ? Ils dénoncent un mécanisme conçu précisément pour éviter que les entreprises locales se retrouvent étranglées par les retards de paiement. Donc, pour résumer leur brillante pensée : “Pour être de bons gestionnaires, ne payons personne.” À ce stade, ce n’est plus une idée : c’est un sabotage. On pourrait rire, si ce n’était pas aus...