Le vaurais nous appartient

 Lu dans la Dépêche du Midi -Tarn- un long article pour expliquer que le maire recherche toujours, c'est à dire 6 mois et demi après l'acquisition, ce qu'il va faire de l'ancienne polyclinique Bel Air. Un papier pour "rassurer" les associations. Mais pas de papier pour rassurer les contribuables, d'ailleurs les atermoiements du maire dans la répartition des surfaces, montrent bien que rien n'avait été préparé, pensé lors de l'acquisition. Il est ainsi confirmé que la maison de la santé est passée à la trappe, que l'hypothèse d'un emménagement d'ESL était un alibi, un leurre. Au delà de la valse hésitation de la gouvernance de la ville, ce qui est patent est bien que plus de 4 000 000€ ont été mobilisé entraînant une charge répercutée sur l'imposition de tout un chacun, pour un projet dont il (le maire) a bien du mal a en définir le périmètre. Cet article va enrichir le dossier de saisine de la 7ème chambre de la Cour des Comptes qui...

 L'important ce n'est pas la dette en elle-même, mais l'utilisation de l'emprunt ! En effet, dire que la dette est trois fois plus importante à Lavaur qu'à Graulhet, c'est vrai mais cela ne veut rien dire, cela ne parle pas. Dire qu'elle atteint des sommets himalayesque c'est vrai également mais pour nous autres, citoyen lambda cela ne parle pas. En regard de cette dette qui a explosé en 2024, il y a des emprunts, là encore cela est un peu abscons pour qui n'a pas le détail de la durée et de l'indexation de ces emprunts.  Mais évoquer la répercussion sur le budget des ménages est significatif à travers la taxe foncière, constater les effets sur le défaut d'entretien de la voire et ses conséquences sur nos déplacements a un sens, le sens de l'abus d'autorité d'un maire qui conduit la commune à sa perte sans esquisser la moindre solution mais qui sera contraint de prendre de mesures fortes de corrections. A peine concernés quand nou...

 Vous avez pris connaissance du cahier de vacances : Héritage... Mais qui peut bien en vouloir ? Et particulièrement du thème "démocratie" traité dans deux articles : Echelle de Popper - Lavaur : magnitude 1 Démocratie, la CRC l'a écrit ! Aujourd'hui je propose un devoir, un exercice appliqué à la démocratie. ENONCE : A Lavaur, et nulle part ailleurs, il marche sur la tête. "Il", le maire, est le garant des valeurs de la République dans la cité. A ce titre, notamment, il lui appartient de mettre en œuvre les recommandations des services de l'Etat. S'agissant de la CRC (Chambre Régionale des Comptes) la recommandation est une meilleure information du citoyen, faire en sorte que ce ne soit pas les services de la ville qui constatent, proposent et mettent en œuvre des solutions. PROBLEME : Trois rues ou voies ont été matérialisées selon la méthode CVCB. Ces marquages ont fait l'objet d'une publication sur Facebook, expliquant son fonctionnement...

LA DETTE - ses conséquences. L'augmentation de la taxe sur le foncier (bâti) est voté  : 61,41 % contre 60,33 l'an dernier. Le rendement de cette augmentation est de 161 033 € . Il va de soi qu'il n'y a pas de quoi absorber les conséquences de l 'achat Bel Air qui cristallise l'entièreté de la dérive budgétaire 2025. La Chambre régionale de Comptes avait jugé en son temps (il y a 5 ans) la dette conséquente mais compte tenu de son adossement au patrimoine culturel de la commune, gérable. Elle était en 2020 de 22 400 000 €. Soit par habitant : 2 100 € Aujourd'hui elle est de 30 000 000 €. Soit par habitant : 2 800 € (2 SMIC !) L'achat de Bel Air a alourdit la dette par habitant de 350 € ! D'un point de vue "taxe foncière" c'est donc 1/8 de votre impôt foncier qui est dirigé vers l'achat de Bel Air ! Aujourd'hui la dette n'est plus adossée au patrimoine culturel - particulièrement la cathédrale Saint Alain - et devient donc in...

Un véritable conte de fée.. . A Lavaur (et je crois bien nulle part ailleurs) s'est noué, autour de l'enjeu des élections municipales, un "jeu de rôle" d'un ridicule  abracadabrantesque ! Abracadabrantesque ? Non pas que mes sources littéraires soient chiraquiennes, il s'en faut et de beaucoup, mais parce que je retiens le concept de ce mot-valise qui évoque l'étymologie "abraca" pour le côté magique et dantesque pour la notion de divine comédie ! C'est bien ce qu'il faut retenir de cette honteuse manipulation à laquelle se livre une opposition qui après 5 ans d'errances politiques se retrouve face à un enjeu bien au-dessus de ses forces et de ses moyens. Pour lancer la machine "élections" l'opposition n'a finalement rien de trouvé de mieux que de berner, tenter de berner l'électeur ! "Lavaur Citoyenne" imagine, sur les ruines de son collectif, rassembler les forces de gauche, mais à Lavaur, c'est p...

 Mais il n'y a que l'opposition "Lavaur Citoyenne" pour se laisser prendre au piège et avaler sans coup férir cette couleuvre de belle taille ! Je vous parle d'assurances, les vilains assureurs qui ont augmenté de façon honteuse leurs prestations. D'ailleurs le maire a eu tellement honte qu'il n'a pas publié les décisions comme la loi l'oblige, mais nous ne sommes pas à un croche-pied réglementaire près. A bien y regarder, serait-ce seulement les tarifs qui ont explosé pour faire concurrence à notre dette ou, aussi, les biens couverts par ces assurances. Parce pour la commune, en qualité de propriétaire au 1er janvier 2025, l'immeuble Bel Air c'est quand même 5418 m² supplémentaires à assurer ! "Lavaur citoyenne qui s'est vu reprocher cette augmentation n'a pas moufté, faut dire dire qu'elle est plus à travailler sa réélection qu'à œuvrer pour le bien commun. Curieux car cela saute aux yeux, d'autant que la décision...

A Lavaur le plafond inacceptable pour la dette a explosé ! La dette c'est bien sûr, par voie de conséquence, l'effet impôts qu'il faut prendre en compte. Et surtout ses retentissements sur la vie de la cité. Le maire, pour des raisons politiques a mené, frontalement, deux actions qui aujourd'hui s'entrechoquent brutalement. Les effets de ses dérives vont être catastrophiques... sur les feuilles d'impôts fonciers :  - une politique immobilière inconsidérée  - le gel du taux communal de la taxe foncière sur le bâti pendant trop d'années. En effet, ces dernières années, par fanfaronnade, bravade, il s'est livré à une opération d'une rare stupidité : il n'a pas augmenté de taux communal du foncier et cela jusqu'en 2024. Alors qu'il était simple de constater que le bâti était, déjà, sévèrement taxé : 20 points de plus que la moyenne des communes de la strate !   Il est désolant de constater que, dans notre ville qui devrait être synonyme de pr...